Le texte n’est pas disposé de manière naturelle, les zones en orange délimitent des
régions anormalement inoccupées ce qui pourrait constituer des indices de présence
d’un calligramme.
Dans ce mode de représentation ce ne sont pas les monogrammes utilisés
qui importent, mais leurs localisations respectives. En jouant sur cette localisation
et sur les espaces inoccupés on peut représenter des schémas, des cartes, des plans,
etc… Les seules limites étant l’imagination du crypteur et l’espace disponible sur
la feuille.
On notera également la présence des mots parasites « REDIS » (un des anciens noms
de Rennes-le-Château) et « BLES ». Plus loin nous verrons que le crypteur n’a pas
eu le choix et s’est trouvé le « dos au mur » coincé par ses propres mauvais choix.
Remarquer aussi le jeu de lettres opéré sur le mot SION (en bleu). Malheureusement
là encore notre crypteur s’est pris les pieds dans le tapis : les différences de
densités linéaires de lettres sur les quatre dernières lignes de gauche l’ont obligé
à ajouter un nouveau « parasite », le mot « UXUO » sur l’avant-dernière ligne pour
conserver l’alignement de son jeu de lettre. Cet ajout semble s’être fait à posteriori
ce qui plaide en faveur de la présence effective d’un calligramme (pour coder quoi,
je l’ignore).