Conclusions
Pour crypter efficacement le message en conservant le texte de départ, d’autres méthodes
comme par exemple celle du « chiffre du livre » auraient été bien plus indiquées,
à la fois plus efficace et beaucoup plus difficile à casser.
A contrario l’usage dune méthode bancale combinée à un texte trop court et associée
à une stéganographie décelable au premier coup d’œil révèlent une intention contraire
à celle de la dissimulation.
Pour moi il ne fait aucun doute que le crypteur voulait
qu’on découvre son message.
Ce n’est donc pas à un crypteur que nous avons affaire
ici, mais à un manipulateur plutôt brouillon.